La Lettre de la President Denis SAUTEREAU CHU H6pital Dupuytren 2, avenue Martin-Luther-King 87042 LIMOGES CEDEX Tel. 05.55.05.66.32120 Fax 05.55.05.66.30 e-mail : denis.sautereau@unil im.fr Vice-president Gerard GAY CHU de Nancy/H6pitaux de Brabois Unite de M~decine Interne orientation digestive 54511 VANDQEUVRE CEDE• Tel. 03.83.15.43.66 Fax 03.83.15.40.12 e-mail:
[email protected] Secr~taire Jean-Marc CANARD 96, bd du Montparnasse 75014 PARIS Tel. 01.43.21.51.31 Fax 01.40.47.69.81 e-mail:
[email protected] Secrdtaire G~n~ral Adjoint J.-C. LETARD Polyclinique de Poitiers 1, rue de la Providence 86000 POITIERS T~I. 05.49.61.72.65 Fax 05.49.50.90.41 e-mail:
[email protected] Secr~taire aux Affaires Internationales Thierry PONCHON Hdpital Edouard Herriot Place d'Arsonval 69437 LYON CEDEX 3 Tel. 04.72.11.01.46 Fax 04.72.11.01.47 e-mail :
[email protected] Trdsorier Jean LAPUELLE Clinique Saint Jean 20, route de Revel 31077 TOULOUSE CEDEX T~I. 05.61.54.91.97 Fax: 05.61.54.94.48 e-mail : j.lapuelle@wa nadoo.fr Tri~sorier adjoint Pierre Adrien DALBIES 30, bd du Pr~sident-J.-Kennedy 34500 BEZIERS Tdl. 04.67.31.79.89 Fax 04.67.31.79.51 e-mail :
[email protected] Membres du Conseil d'Adrainistration J.P. ARPURT, Avignon C. BOUSTIERE, Aubagne J. 8OYER, Angers J. ESCOURROU, Toulouse M. GREFF, Saint-Laurent du Var R. LAUGIER, Marseille J.C. LETARD, Poitiers 8. MARCHETTI, Marseille B. NAPOLEON, Lyon L. PALAZZO, Paris B. VEDRENNE, Mulhouse Commissions 9 Communication J.M. CANARD 9 Epid~miologie et santepublique J. ESCOURROU - Hdpital Rangueil 1, avenue Jean-Poulhes 31054 TOULOUSE CEDEX Tdl. 05.61.32.27.63 Fax 05.61.32.21.76 e-mail :
[email protected] 9 Formation J. BOYER - CHU Angers 4, rue Larrey - 49033 ANGERS CEDEX 01 Tdl. 02.41.35.34.07 Fax 02.41.35.53.86 e-mail:
[email protected] 9 Hygiene et s~curit~ B. NAPOLEON 35, rue Bataille - 69008 LYON Tel. 04.78.78.10.51 Fax 04.78.74.07.92 e-mail :
[email protected] 9 Recherche et d~veloppement T. PONCHON 9 Recommandations G. GAY 9 Imagerie et materiel J.C LETARD 9 Site internet de la SFED : D. SAUTEREAU
2 JOURS D ' E N D O S C O P I E EN F R A N C E Docteur Jean-Marc CANARD RESULTATS DE L'ENQUCTE 2004 Donn es completes
Conseil d'administration Pr~ident: DenisSautereau,V'ce-Pr~sident:GdrardGay, SecrdtaimGdndml:JeanMarc Canard, SecrdtaireGdndralAdjoint:Jean-ChristopheLetard, Secrdtaireaux AffairesIntemationales:ThierryPonchon,TP~soder:Jean Lapuelle,TrdsoderAdjoint: Pierre-AdrienDalbies Membres: Jean-Pierre Arpurt, Christian Bousti~re, Jean Boyer, Jean Escourrou, MichelGreff, Rend Laugier,BernardMarchetti,BertrandNapoldon,LaurentPalazzo, Bruno Vedrenne
'enqu~te Deux Jours d'Endoscopie en France, realis~e depuis 1998, permet d'avoir une base de donn~es exceptionnelles concernant les Lindications, les r~sultats, les conditions d'exercice, le type d'examen r~alis~, I'~volution de I'endoscopie en France. Cette enqucate confirme la place essentielle de I'endoscopie digestive en mati~re de: - Diagnostic, par la r~alisation de 1.077.000 pr~l~vements par an, essentiels au diagnostic, au traitement et ~ la surveillance des maladies de I'appareil digestif. - Th~rapeutique avec 426.000 endoscopies ~ vis~e th~rapeutique (360.000 coloscopies pour polypectomies, 28.000 coloscopies pour un autre geste t h e r a p e u t i q u e autre que la polypectomie, 61.000 endoscopies oeso-gastro-duodenales ~ vis~e therapeutique, 31.376 endoscopies th~rapeutiques des voies biliaires et pancreatiques). - Lutte contre le cancer avec I'ablation de 700.000 polypes recto-coliques --)
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par an en France et le diagnostic de 72.870 tumeurs malignes (1/4 de tousles cas de cancers diagnostiqu~s en France).
ent&ologues qui ont inclus ou ont pu inclure des patients durant ces deux jours. La mobilisation ne diminue pas et, bien au contraire, augmente d'ann~e en annie. La SFED tient a remercier, tout particuli&ement, le Laboratoire SANOFI AVENTIS pour son soutien et son implication sur le terrain ainsi que la Soci~t~ STETHOS qui a realis~ I'enqu~te.
Dans ce n u m & o special sont rapport~s les principaux renseignements fournis par cette enqu~te en mati&e d'indication, de diagnostic, de condition d'exercice, de complication, de qualite de la pratique, de r~sultat, de geste th&apeutique.
Jean-Marc CANARD
La SFED tient ~ remercier les 1.790 gastroent&ologues qui ont repondu Iors de I'annonce de I'~tude et, tout particuli&ement, les 1.101 gastro-
Secr~taire G~n~ral et Coordonnateur de I'Enqu~te
Chaque gastro-ent&ologue rentre sur des fiches I'ensemble
Une extrapolation a et~ realisee sur la base des 2963 gas-
des patients pour lesquels il pratique une endoscopie, durant deux jours qui leur sont pr~alablement fixes et non modifiables.
tro-ent&ologues qui pratiquent des endoscopies et sur le nombre de jours d'endoscopies pratiqu~es dans I'annee
1047 gastro-ent&ologues ont inclus 6063 patients dont 7205 endoscopies r~alis~es.
2.468.241 endoscopies ont ~t~ realis~es en 2004 soit une augmentation de 10% par rapport ~ 2003. Cette augmentation est due ~ la mont~e en charge du d~pistage du cancer colo-rectal ce qui entra~ne une augmentation du nombre de coloscopies.
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90% des endoscopies sont pratiqu~es dans un centre d'endoscopie ~ I'interieur ou ~ I'ext&ieur d'une unit~ d'hospitalisation publique ou privee.
71,1% du materiel utilis~ ~ moins de 4 ans. U~tat du parc d'endoscopes utilis~s a progress~ depuis la derni~re enqu~te.
L'endoscopie est essentiellement pratiqu~e en ambulatoire dans 58,3% des cas. Le pourcentage d'hospitalisation est fauss~ par le hombre d'endoscopies r~alis~es au cours d'une hospitalisation.
La d~sinfection en machine progresse doucement.
6,8% des endoscopies sont encore pratiquees avec des fibres optiques et cela, essentiellement dans les cabinets de ville, en raison du co~t de plus en plus elev~ de I'examen dans cette structure.
Le parc de nettoyeur desinfecteur est par contre ancien car 43,4 % des machines ont plus de 5 ans.
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Le passage ~ I'acide p~racetique se fait progressivement.
L'origine du recrutement est stable et dans 57,6% des cas le patient est adress~ par son m~decin traitant.
ENDOSCOPIE C
SO-GASTRO-DUODENALE
Les douleurs ~pigastriques et le reflux gastro-oesophagien sont les principales indications d'une endoscopie oeso-gastro-duod~nale et les indications pour troubles fonctionnels intestinaux sont rares et en diminution.
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272.000 e n d o s c o p i e s hautes sont r~alisees pour le suivi d'une pathologie.
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79.398 endoscopies sont r~alis~es pour surveillance d'un ~tat pr@-canc&eux.
Le nombre de patients sous IPP, avant une endoscopie oeso-gastro-duod@nale, progresse ce qui n'est pas en accord avec les recommandations.
29.190 endoscopies sont r~alis~es pour surveillance d'un cancer digestif haut.
Dans 70,8% des cas, I'endoscopie est anormale. Dans 7.589cas, I'endoscopie haute n'a pas et@ possible.
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Les troubles fonctionnels intestinaux repr~sentent une faible part des endoscopies normales.
Le traitement endoscopique des varices oesophagiennes devient le geste th~rapeutique le plus r~alis~, avec une discr~te augmentation des extractions de corps etrangers et une augmentation notable des mucosectomies oeso-gastroduod~nales. 61.067 gestes th~rapeutiques ont ~t~ realises par endoscopie haute.
Le pourcentage de gestes diagnostiques associ~s augmente et, en particulier, la realisation d'une biopsie.
Les cancers de I'oesophage et du cardia comprennent les cancers nouveaux et ceux faisant I'objet de surveillance endoscopique ou de traitement endoscopique.
Les pr~l~vements sont plus frequents au niveau de I'oesophage. Peut ~tre en raison de I'augmentation des EBO surveiller mais aussi pour ne pas passer ~ c6t~ d'une dysplasie de bas ou de haut grade d~velopp~e sur un ulc~re ou une ulceration r~cente ou banale.
La muqueuse oesophagienne est anormale dans275.313cas et compliqu~e dans 72.391 cas, avec 58.907 EBO diagnostiqu~s et/ou suivis.
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Le nombre de biopsies r~alis~es sur un EBO court est insuffisant.
32.881 cancers oeso-gastro-duod~nales ont ~t~ diagnostiqu~s ou surveill~s en 2004.
kes I~sions d~couvertes au niveau de I'estomac sont en augmentation m~me si les I~sions d~couvertes au niveau de I'oesophage sont plus fr~quentes et plus importantes,
7.992 cancers oeso-gastro-duod~nales etaient ant&ieurement diagnostiqu~s.
Uulc~re duodenal ne r~gresse pas.
24.890 cancers o~so-gastro-duod~naux ont et~ diagnostiqu~s en 2004.
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II est regrettable que 280.886 patients n'aient pas pu bdn~ficier d'anesth~sie en raison de la non disponibilit~a d'un anesthesiste. Cette situation n'est pas acceptable. Seul est acceptable le refus du patient ou le choix du m~decin de ne pas pratiquer I'anesth~sie ou la s~dation.
12,4% des cancers diagnostiqu~s avaient moins de 50 ans et il faut avoir cette notion ~ I'esprit Iorsqu'on pose I'indication d'une endoscopie haute.
131.142 patients avaient des ant~cddents personnels ou familiaux de cancers et, en particulier, 17.339 patients avaient des antecedents de cancers gastriques du premier degr~.
UanesthLasie g~n~rale, d~livr~e pour une endoscopie oesogastro-duod~anale, progresse doucement mais favorablement.
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Les complications au cours d'une endoscopie haute sont en regression mais ce chiffre est ~ interpreter avec prudence, compte tenu du faible effectif de I'echantillon dans ce cas.
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107.000 coloscopies suppl6mentaires et 50.000 recto-sigmoTdoscopies souples suppl6mentaires ont 6t6 pratiqu6es en 2004 en raison de la mont6e en charge du d6pistage du cancer colo-rectal.
Dans 96% des cas, une anesth6sie ou une sedation est d61ivr6e pour une coloscopie.
Les 6checs de coloscopie sont en diminution ce qui temoignent de I'augmentation de la qualit6 de la pratique de la coloscopie.
II est regrettable que 60.331 patients n'aient pu b6n6ficier d'une anesth6sie ou s6dation en raison de la non disponibilit6 d'un anesth6siste. Cette situation est encore moins acceptable pour la coloscopie.
Les echecs de coloscopie, en raison d'une pr6paration de mauvaise qualitY, restent malheureusement stables. Les diminutions des echecs sont bien corr616es & la diminution des difficult6s techniques.
La polypectomie est le geste th6rapeutique le plus pratiqu6 au cours d'une endoscopie.
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PrOs de 60% des coloscopies sont anormales.
1.077.071 pr~al~vements sont r~alises au cours des endoscopies hautes et basses, ce qui t~moigne du r(31ediagnostique primordial de I'endoscopie digestive pour le diagnostic, le traitement et la surveillance des maladies de I'appareil digestif et sa sup~riorit~ par rapport ~ toutes les autres techniques d'imagerie, en particulier virtuelle.
PrOs de 30% des endoscopies normales ~taient r~alis~es dans un but de d~pistage de cancer colo-rectal ce qui est plut6t une bonne nouvelle pour les patients. Ces examens ne sont pas inutiles dans ce cas.
La coloscopie de d~pistage est la premiere indication de la coloscopie avec 15,5% de coloscopies r~alis~es pour surveillance apr~s polypectomie et 6,3% pour surveillance d'un cancer du colon. Les indications de coloscopie pour troubles fonctionnels intestinaux diminuent tout comme les indications d'endoscopie haute.
Le diagnostic de polype est le diagnostic le plus frequent. 52.616 tumeurs malignes recto-coliques ont ~t~ diagnostiquees ou ont eu une endoscopie pour surveillance ou traitement palliatif ou secondaire. Le chiffre ne repr~sente pas le nombre r~el de nouveaux cancers colo-rectaux diagnostiqu~s en 2004.
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La recto-sigmoidoscopie courte est un mauvais examen c a r elle m~conna~t toutes les I~sions situ~es sur le colon droit, transverse et le colon gauche.
Le pourcentage de coloscopies r~alis~es pour I'H~moccult | positif est bien s0r supErieur dans les 22 dEpartements o0 le dEpistage de masse a ~t~ mis en place.
La recto-sigmo'J'doscopie courte est un mauvais examen car elle m~conna?t 40,5% des tumeurs malignes recto-coliques.
Le p o u r c e n t a g e de coloscopies r~alisEes en cas d'HEmoccult | augmente ce qui est normal en raison du dEpistage par HEmoccult mis en place dans 22 dEpartements.
PrEs de 700.000 polypes ont Et~ enlevL~s par coloscopie en 2004. Ce chiffre est en augmentation constante et devrait encore augmenter compte tenu de la mont~e en puissance du d~pistage du cancer colo-rectal.
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Le diagnostic de polypes augmente ~ partir de 45 ans ainsi que le pourcentage de cancers colo-rectaux ~ partir de 50ans ce qui justifie les nouvelles recommandations de I'ANAES 2004.
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Le pourcentage de polypes trouv~s et de cancers diagnostiqu~s est plus important Iorsque la coloscopie de d~pistage avec H~moccult | positif est r~alis~e. Le pourcentage de polypes et de cancers trouv~s, en cas d'ant~cedents familiaux du premier degre, est le plus faible de cette etude compte tenu de la bonne surveillance et de la prevention efficace chez ces patients. II faut souligner le pourcentage de polypes et de cancers trouv~s en cas de coloscopie de d~pistage chez des patients totalement asymptomatiques et sans antecedents familiaux ainsi que chez les patients ayant de simples troubles fonctionnels intestinaux: ces chiffres peuvent amener a s'interroger sur I'indication de la coloscopie de depistage h partir de 50 ans pour toute la population fran~aise.
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Le petit materiel ~ usage unique utilis~ pour la coloscopie basse est en augmentation
72.870 cancers digestifs ont et~ diagnostiques par endoscopie digestive en 2004.
900 cancers colo-rectaux ont ~t~ diagnostiqu~s apr~s une endoscopie normale 5 ans au prealable, ce qui incite h augmenter encore la qualit~ de la pratique de la d~tection des I~sions de la marge anale jusqu'au bas fond caectal.
Le nombre de perforations, au cours d'une coloscopie, a r~gress~ ce qui t~moigne ~galement de I'augmentation de la qualit~ de la pratique de la coloscopie.
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Les recto-sigmoidoscopies courtes sont essentiellement r~alis~es en cas de rectorragies.
12.683 tumeurs malignes recto-coliques ont ~te diagnostiquees et/ou surveillees par RSS ce qui peut a m e n e r penser que ces p a t i e n t s ont eu une coloscopie totale par la suite. En c o n s e q u e n c e , on peut estimer le hombre de nouveaux cancers r e c t o - c o liques a 40.000 en 2004.
8.628 endoscopies biliaires ont ~t~ realisees pour mise en place d'une prothese ~ titre palliatif sur des cancers biliopancr~atiques.
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La Lettre de la $FED est ~ditee par la Soci(~tc~
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La cotisation ~ j o u r de la SFED p e r m e t de recevoir Endoscopy, Acta Endoscopica et d ' o b t e n i r une reduction sur I'inscription ~ Viddo-Digest.
N ~ ISSN: 16235762
R UNIONS SOUS L' GIDE DE LA SFED VIDEO-DIGEST
8 e JOURNI~E D'ENDOSCOPIE DIGESTIVE DU LIMOUSIN
Paris, M~ridien Montparnasse 4 et 5 novembre 2005
Limoges
25 Juin 2005
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18 e COURS INTENSIF D'ENDOSCOPIE DIGESTIVE DE I.A SMIER Strasbourg -
20 e JOURNI~E D'ACTUALITI~S DIGESTIVES DU TROCADI~RO
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Inscriptions: ALEOU Christophe BAPTISTE TEl : 33 (0)1 64 33 33 33 - Fax : 33 (0)1 01 64 33 40 31 e-mail :
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Secrdtariat scientifique et technique : Docteur Jean-Marc CANARD 96, bd du Montparnasse 75014 PARIS T~I : 01 43 21 51 31 - Fax : 01 40 47 69 81
V o l u m e 35 - N ~ 2 - 2 0 0 5
2005
Renseignements : GErard GAY Service de Medecine Interne J H6pital de Brabois AIIEe du Morvan 54511 VANDCEUVRE LES NANCY CEDEX - France TEl: 33 (0)3 83 15 3 5 4 9 - Fax : 33 (0)3 83 15 35 49
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D o c u m e n t r6alis(
2, 3 d~cembre
avec le soutien de sanofi aventis ~
Acta Endoscopica